Au Niger, depuis que la CEDEAO et l’UEMOA, par-delà et contre les textes qui les régissent, prenaient de graves et indéfendables décisions contre le Niger pour étouffer le peuple, et ce, prétendent-ils, au nom d’une démocratie dont elles ne se sont jamais préoccupées de l’état dans la sous-région, la vie est devenue infernale pour les clients des banques installées dans le pays. Nous avons souvent évoqué le cas de certaines banques qui, pour des raisons diverses, et peut-être pour se ranger du côté des positions affichées des pays dont les directeurs sont ressortissants, solidaires à distance des prises de position de leurs dirigeants, avaient rendu la situation particulièrement difficile pour leurs clients à qui elles imposaient des conditions contraignantes qui font, qu’aujourd’hui, beaucoup de déposants n’osent plus amener leur argent en banque quand le retirer pourrait devenir pour eux un parcours de combattant.
La Sonibank, autant que possible, et par la qualité de sa gestion qui lui a permis d’être leader dans le domaine et afficher les meilleurs résultats qui lui donnèrent la confiance sans cesse renouvelée de ses clients nombreux, a tenu bon, ne laissant pas voir de grands changements liés aux mesures que prenaient les deux institutions régionales qui ont aujourd’hui perdu toute crédibilité au Sahel et sans doute ailleurs aussi, car leur vocation est moins de faire souffrir les peuples que de leur donner des raisons d’espérer et de croire au sens humain de la banque qui n’est pas faite que pour le profit et, ici, pour imposer des épreuves aussi iniques aux peuples.
Les clients de la Sonibank sont de ceux qui ont moins souffertdes services des banques depuis la mise en œuvre des mesures dictées par les deux institutions régionales. Les clients, à 90%, sont satisfaits quand ils peuvent voir, comment ailleurs, d’autres souffrent, s’entassant à longueur de journée, presque humiliés, pour avoir accès à leurs dépôts ou à leur salaire. Beaucoup de banques aujourd’hui se sont discréditées au point où l’on se demande, quel avenir leur reste-t-il dans le pays quand tout devra rentrer dans l’ordre. Les clients peuvent-ils rester avec de telles banques ? Ce n’est pas certain. La Sonibank, dont la gestion du directeur, entouré d’une équipe dynamique et professionnelle, est unanimement saluée, s’en tire donc, elle, à bon compte, préservant par son savoir-faire, son image et sa place dans l’écosystème financier du pays. Aussi a-t-elle pu accompagner, dans l’élan patriotique qui souffle dans le pays, les nouvelles autorités dans leur engagement à faire du Niger un pays qui gagne, triomphant sur les adversités et les épreuves. Elle n’écoute donc que son instinct de banque pour rassurer les clients et, en des moments difficiles, montrer qu’elle est capable de résister aux chocs du moment. La Sonibank, c’est la modernité et la résilience. Une affaire de professionnel !