Bientôt une équipe d’experts à Niamey
Après les débats sur la fiabilité de Zimar et la décision du gouvernement d’enquêter sur la société, des sources crédibles informent qu’une équipe d’experts sera à Niamey. Ces experts internationaux travailleront avec quatre (4) cabinets nigériens pour mener une étude sérieuse sur la faisabilité du projet de construction de la raffinerie de Dosso. Par cette décision de faire venir des experts au Niger et d’impliquer des cabinets nationaux, le gouvernement opte pour la transparence et un travail irréprochable dans le cadre de la réalisation de ce grand projet stratégique pour le Niger. Cette démarche s’inscrit dans la prise en compte des inquiétudes des nigériens par rapport à la société Zimar. Arrivé pour mettre fin aux mauvaises pratiques au Niger, le CNSP est résolument décidé de faire mener la réalisation de cette raffinerie dans l’art et la plus grande transparence pour le bonheur du peuple nigérien. En tout cas, nos sources indiquent que le Général Tiani, président du CNSP, suit de prêt et avec une grande attention le projet. Cela pour éviter d’autres dérives comme celles constatées avec la CNPC dans le cadre de la raffinerie de Zinder. La CNPC, une société qui aurait surfacturé à plus de 7 millions de dollars US la construction de la raffinerie de Zinder. En plus, plus de 13 ans après, aucun technicien nigérien de la SORAZ ne peut faire fonctionner la raffinerie. C’est pourquoi le Chef de l’Etat aurait instruit les services compétents à prendre toutes les dispositions pour une bonne exécution du projet de Dosso. D’ailleurs, des sources crédibles informent que la société Zimar aurait satisfait aux trois garanties exigées par le CNSP. A savoir la garantie de financement, de performance et celle de transfert de compétence, pour une raffinerie modulaire d’un cout global de 1,5 Milliards de dollar US. Pour les études techniques, des experts de haut niveau de nationalités différentes vont travailler avec des cabinets nigériens.
La SONIBANK victime de terrorisme médiatique
Depuis quelques temps, des activistes des réseaux sociaux auxquels se rejoignent des médias à la recherche, sans y parvenir, des faits sensationnels, s’attaquent sans raison valable à l’institution bancaire la plus crédible du Niger qu’est la SONIBANK. Une banque qui accompagne les autorités nationales dans la marche vers la souveraineté nationale. La SONIBANK, dans son élan patriotique, a décidé d’accompagner le CNSP pour contourner les sanctions inhumaines, iniques et insensées imposées au Niger par la France et ses obligés des pays de la CEDEAO. Cette banque patriotique, à tout point de vue, est à saluer, pour son accompagnement remarquable à l’Etat dans l’achat des produits vivriers, dans le payement des salaires des fonctionnaires et dans le ravitaillement des centres des œuvres universitaires à travers les fournisseurs. C’est donc un effort patriotique qui n’est pas du gout des thuriféraires du régime déchu et leurs complices des réseaux sociaux. Lesquels inventent des fausses informations dans le seul but de saper les efforts de la SONIBANK et ternir son image de marque. Une image qui, aujourd’hui, force l’admiration. Surtout que les clients n’ont jamais cessé de témoigner aux responsables de la SONIBANK leur entière satisfaction. Avec sa constance d’être toujours proche des citoyens et dans le travail bien fait, la SONIBANK est incontestablement le leader des banques au Niger.
Plusieurs maisons d’un opérateur économique saisies
Mamou Dakouré, c’est la femme d’affaires Burkinabé à qui la Banque agricole du Niger (BAGRI) doit plus de cinq (5) milliards de FFCA. Elle serait d’ailleurs au Niger pour un bref séjour. Mais, des responsables de la Banque, avec la complicité de certains magistrats nigériens, auraient voulu étouffer l’affaire. Et pour ce faire, ils n’auraient trouvé mieux que d’accuser la brave dame de délit de blanchiment. Mais, ils sont mal barrés, car les autorités, soucieuses des droits de chacun, déterminées de façon tenace, ont la ferme volonté de rendre justice à dame Dakouré. Cependant, selon des sources crédibles, l’arrivée à Niamey de dame Dakouré ne serait pas liée à cette affaire de la BAGRI. Dame Dakouré serait venue pour faire saisir des immeubles d’un opérateur économique connu dans le commerce d’équipements militaires. Nos sources indiquent que l’opérateur économique doit plus de cinq cent (500) millions de FCFA à la dame. Un crédit qui lui aurait été donné en espèces sonnantes et trébuchantes et qu’il aurait refusé de rembourser. Ce, malgré la décharge de reconnaissance de dette que le monsieur en question aurait signée. Mamou Dakouré, une femme très puissante dans l’espace AES, se trouverait être grugée au Niger. Aux dernières nouvelles, dame Dakouré compte ne pas se laisser faire. Et décide d’accompagner les autorités du Niger dans la marche vers la souveraineté. Et selon son entourage, son accompagnement sera très précieux pour le Niger.
A suivre !