Cette question est au centre des discussions dans les grands salons feutrés de Niger. Il se murmure qu’il cherchait une permission auprès du CNSP pour pouvoir aller à l’extérieur pour un bilan de santé. Pour l’aboutissement de sa doléance, il aurait demandé aux autorités de la République togolaise d’intercéder auprès du pouvoir de Niamey. Selon nos sources, le CNSP resterait ferme et que l’autorisation ne lui sera pas accordée. Cette demande, Mahamadou Issoufou l’aurait faite parce qu’ayant appris que c’est le Togo qui aurait négocié et obtenu la réinstallation de l’ambassadeur du Niger au Togo dans son poste. Aujourd’hui, l’autoriser à quitter le Niger ne sera-t-il préjudiciable au pays?
Surtout avec son fils qui garde toujours prison et quand on sait qu’ils sont nombreux ses camarades fugitifs qui souhaitent que le ciel tombe sur le Niger depuis que le CNSP est venu les balayer et les dégager de la tête de l’État.
En plus, l’on apprend que certains richissimes de son parti seraient sur le territoire togolais. Où bien chercherait-il à se soustraire de la justice nigérienne ?
Un postulat qui pourrait tenir.
D’autant que, du 26 juillet 2023 à ce jour, il ne fait que constater et observer ses minces espoirs s’envoler avec des nuit longues et cauchemardesques, sans être capable d’agir. Surtout que dans de tas de dossiers transmis à la COLDEFF, il y aurait des indices probants de son implication.